Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
pourquoi pas nous?
Derniers commentaires
1 mai 2009

la influenza ... de politicoeconomicosocial sur la vie d un citoyen ordinaire

coucou tout le monde

je voudrais par ce texte vous faire part des ressentis ici au mexique sur place, et ceux que vous tous au loin vous me transmettez, je vais donc essayer de faire une recompilation des idees, et des fausses, sur les soi disants 16o et je sais pas combien de deces au mexique.... et autres chiffres dans le reste du monde

tout d abord il faut savoir que seulement la capitale du mexique compte 2o millions de personnes et le total du pays 107 millions... combien de personnes meurent par jour que ce soit pour cause naturelle, pour le probleme de la drogue, etdes narco, pour catastrophes naturelles... le taux de mortalite est de casi 5 pour mille...faites le calcul vous meme...jaja

ce n est pas pour deprecier l importance de chaque humain que je vous donne ces chiffres, sinon que les statistiques de l OMS disent, une epidemie c est que c est tant de personnes.... mais tout est relatif.

bon apres ca il faut resituer un contexte deja de grande crise. la crise economique depuis 6 mois fait rage et seul le prix du panier menager de base a augmenter, le narco trafic est soi disant plus fort que jamais, beaucoup y laissent leurs vies, parce que calderon, la dis, beaucoup vont mourir dans cette lutte, et obama le reaffirme. de plus en juillet donc , quelques mois, nous voyons face a la reelection partielle de la chambre des deputes...

bon il y en a qui dise

http://www.latinreporters.com/amlatpol11012009.html

MADRID, dimanche 11 janvier 2009 (LatinReporters.com) - Le Chili, si symbolique, va-t-il virer à droite comme le suggèrent les sondages? En revanche, au Salvador, les urnes porteront-elles au pouvoir l'ancienne guérilla d'extrême gauche du FMLN? Les Vénézuéliens octroieront-ils à Hugo Chavez le droit de briguer indéfiniment la présidence? Et en Bolivie, l'Amérindien Evo Morales sera-t-il réélu et sa Constitution indigéniste plébiscitée? Ces questions dominent les 2 référendums, 7 élections présidentielles et 9 législatives qui se succéderont en 2009 dans 10 pays d'Amérique latine: Salvador, Bolivie, Venezuela, Equateur, Panama, Mexique, Uruguay, Argentine, Honduras et Chili.

Hugo Chavez et Evo Morales - Photo Prensa Presidencial, Venezuela

Hugo Chavez (chemise rouge) et Evo Morales. Venezuela et Bolivie resteront au centre de l'actualité en 2009, année d'incertitude au Chili. (Photo Prensa Presidencial - Venezuela)

A noter d'emblée que les régimes présidentiels généralisés en Amérique latine relativisent, davantage encore qu'aux Etats-Unis, l'importance des scrutins législatifs, souvent concomitants avec le présidentiel. Contrôlant l'exécutif, la présidence s'exercera même si l'opposition parlementaire est majoritaire et peut parfois freiner, voire enterrer, certaines initiatives présidentielles.

Assaisonnant le marathon électoral continental qu'enrichiront encore divers scrutins municipaux, le Ve Sommet des Amériques, du 17 au 19 avril à Trinité-et-Tobago, permettra au nouveau président des Etats-Unis, Barack Obama, de côtoyer ses pairs du continent convoqués sur le thème "Assurer l'avenir de nos citoyens à travers la promotion de la prospérité humaine, la sécurité énergétique et la durabilité environnementale".

L'institution des Sommets des Amériques, dont le IVe fut accueilli par l'Argentine en 2005, est une émanation de l'OEA (Organisation des Etats américains). L'OEA compte 34 Etats membres, soit tous ceux des Amériques à la seule exception de Cuba. L'île des frères Castro en fut exclue en 1962, un système communiste étant alors considéré comme incompatible avec le système interaméricain. Atteintes aux droits de l'homme et absence de pluralisme sont les raisons invoquées par Washington pour prolonger cette exclusion. Barack Obama la maintiendra-t-elle, alors que les 33 pays d'Amérique latine et des Caraïbes, à nouveau tous ceux des Amériques à l'exception cette fois des Etats-Unis et du Canada, applaudissaient Raul Castro le 17 décembre dernier au Brésil et jetaient, quoique certains avec tiédeur, les bases d'une organisation parallèle à l'OEA incluant Cuba?

Salvador, Bolivie, Venezuela

Le Salvador ouvrira le bal électoral en élisant le 18 janvier ses 84 députés, puis, le 15 mars, son président. Pour les deux scrutins, les sondages prédisent le triomphe du Front Farabundo Marti pour la Libération Nationale (FMLN), l'ex-guérilla reconvertie en parti politique. La victoire de son candidat à la présidence, le journaliste de télévision Mauricio Funes, très populaire et d'une modération peut-être tactique, mettrait fin à 20 ans de pouvoir de l'Alliance Républicaine Nationaliste (ARENA, originellement façade politique de paramilitaires d'extrême droite). Succédant au retour à la présidence du Nicaragua, lors des élections de novembre 2006, de l'ex-chef guérillero sandiniste Daniel Ortega, ce bouleversement renforcerait les pressions internationales exercées sur la guérilla marxiste colombienne des FARC pour la convaincre de briguer le pouvoir par les urnes et non plus par les armes.

Le 25 janvier en Bolivie, le président amérindien Evo Morales jouera son avenir politique au référendum sur une nouvelle Constitution dont l'adoption est probable. Instaurant une version locale du "socialisme du 21e siècle" cher au président vénézuélien Hugo Chavez, la nouvelle charte fondamentale, très soucieuse des intérêts des populations autochtones, permettrait à Evo Morales de solliciter un second mandat lors d'élections présidentielle et législatives déjà fixées au 6 décembre. A cette date, les pleins effets de la crise financière et économique mondiale auront créé, en Amérique latine comme ailleurs, des paramètres qui pourraient bousculer les schémas politiques.

La victoire référendaire attendue du chef de l'Etat bolivien épaulerait psychologiquement l'ambition très contestée de son allié Hugo Chavez de faire sauter, également par référendum en février, le verrou par lequel la Constitution dite bolivarienne du Venezuela ferme actuellement la possibilité d'exercer plus de deux mandats présidentiels consécutifs. Une victoire du non, qui surprendrait autant que le rejet populaire en décembre 2007 d'une autre tentative de révision constitutionnelle, empêcherait Hugo Chavez de briguer à nouveau la magistrature suprême en décembre 2012 et le contraindrait à céder le pouvoir à son successeur en janvier 2013. Dans l'immédiat, un non majoritaire des Vénézuéliens au droit de briguer un nombre illimité de mandats successifs nuirait à toutes les gauches radicales d'Amérique latine et alourdirait peut-être davantage les tensions politiques au Venezuela pendant les 4 dernières années du mandat de Hugo Chavez. Sa marge de manoeuvre, tant nationale qu'internationale, est actuellement hypothéquée par l'effondrement des prix du pétrole brut, dont le Venezuela est le 5e exportateur mondial.

Equateur, Panama, Uruguay, Honduras

La théorie des dominos entre la Bolivie et le Venezuela, ainsi que la crise mondiale pèseront également sur l'Equateur, appauvri soudainement par la réduction des prix pétroliers et du montant des devises envoyées par les émigrés. Les sondages laissent toutefois peu de doutes sur la réélection du socialiste équatorien Rafael Correa aux élections présidentielle et législatives du 26 avril. Allié de ses homologues Morales et Chavez, le président Correa suspendait en décembre dernier le paiement de près de 40% de la dette extérieure équatorienne. Populaire et permettant de ne pas réduire les programmes sociaux avant les élections, cette mesure expose à terme l'Equateur à de coûteuses représailles internationales.

Scrutins présidentiels et législatifs aussi au Panama, le 3 mai, et en Uruguay, le 25 octobre. Une gauche modérée apparentée à la social-démocrate régit actuellement les deux pays. Nettement favori dans les sondages, l'homme d'affaires et milliardaire Ricardo Martinelli ramènerait le Panama au centre droit s'il remportait la présidence. En Uruguay, le Frente Amplio (Front Elargi) a des chances raisonnables de conserver le pouvoir. L'élection à la présidence de son candidat le plus probable, l'ex-guérillero José Mujica, pourrait incliner le pays davantage à gauche par rapport à la gestion de l'actuel président Tabaré Vazquez.

Au Honduras, lors de la présidentielle et des législatives simultanées du 29 novembre, la présidence se jouera entre Porfirio Lobo, du Parti national, et Elvin Santos, du Parti Libéral. Ces partis théoriquement de droite sont les deux principaux du pays. L'actuel président Manuel Zelaya, élu en 2005 comme candidat du Parti Libéral, a plongé dans le flou les étiquettes politiques en signant en août 2008 l'adhésion du Honduras à l'ALBA (Alternative bolivarienne pour les Amériques), organisation politico-économique de la gauche radicale à laquelle appartiennent Cuba, le Venezuela, la Bolivie, le Nicaragua et la Dominique.

Mexique, Argentine, Chili

Des élections législatives partielles renouvelleront le 5 juillet au Mexique la totalité des députés (le sort des sénateurs se jouera en 2012) et le 25 octobre en Argentine la moitié de la Chambre des députés et le tiers du Sénat. Le président conservateur mexicain Felipe Calderon et son homologue argentine, la péroniste de gauche Cristina Fernandez de Kirchner, tous deux arrivés alors à mi-mandat, mesureront la température socio-politique de leur pays et les analystes ébaucheront leurs premières prévisions pour l'élection présidentielle de 2011 en Argentine et celle de 2012 au Mexique.

Enfin, le Chili fermera le cycle électoral latino-américain de 2009 par les élections législatives et la présidentielle concomitante du 11 décembre. Cette dernière aura une forte charge symbolique. Au pouvoir depuis 1990, soit depuis la fin de la dictature du général Augusto Pinochet, la coalition de centre gauche Concertation pour la Démocratie pourrait perdre le scrutin présidentiel après avoir été devancée en octobre dernier, pour la première fois aussi, par la coalition de droite Alliance pour le Chili à l'élection directe des maires des municipalités.

Début janvier, un sondage du Centro de Estudios de la Realidad Contemporánea (CERC) octroyait 41% des intentions de vote au candidat de la droite, le milliardaire Sebastian Piñera, qui avait recueilli en janvier 2006 46,5% des suffrages au second tour de la présidentielle, contre 53,5% à la présidente en exercice, la socialiste Michelle Bachelet. La Constitution empêche cette dernière de briguer un second mandat consécutif. Le candidat le mieux situé au sein de la Concertation pour la Démocratie, le revenant démocrate-chrétien Eduardo Frei, premier président de la nouvelle démocratie chilienne, n'est crédité par le CERC que de 9% de préférences.

Qu'au pays du général Pinochet, décédé en décembre 2006, la droite revienne au pouvoir, cette fois au moyen d'urnes démocratiques, porterait un rude coup au messianisme des gauches latino-américaines. Et que l'alternance démocratique ne favorise pas nécessairement la gauche serait difficilement admis à Caracas, Quito, La Paz, Managua et la Havane. Mais d'ici décembre, divers impondérables, dont les effets de la crise économique mondiale, pourraient retourner les sondages.

et bon en gros depuis 2006, tout le monde entier s attend a ce que ce continent americain, tourne radicalement a gauche....

le salvador le 15 mars a voter a gauche, de nombreux strateges d etats mayors, et geographe ont dit que le salvador etait la piece du puzzle qui ferait tout changer.... serait ce vrai...

bon il faut quand meme dire qu ici on nous dit le 6 mais tout reprendra son cours,. et pourquoi le 6 mai c est quoi le plan, y a deja une date ou l epidemie sera controlee.... un peu etrange nan

mais lisez cette theorie qui veut que... vous fassiez un petit effort pour lire en espagnol...

El pasado 2 de abril durante la reunión del grupo de G7 integrado por EU, R. Unido, Canadá, Alemania, Italia y Japón  se dieron 2 conclusiones fundamentales.

1-   La economía mundial necesitaba un cambio

2-   El FMI. Destinaria 500,000 millones de dólares para ayudar a las economías emergentes, (países pobres dispuestos a colaborar) pues bien los dados estaban en el aire.

3-   Luego vino la reunión privada del presidente Obama y Felipe Calderón el 16 y 17 de abril.

Sorpresivamente el jueves 23 de abril el presidente de México convoco a una reunión de emergencia con su gabinete, y por la noche el secretario de salud José ángel córdoba Villalobos anunciaba en cadena nacional la aparición del virus de la influenza, y las medidas inmediatas como la suspensión de las clases a todos los niveles en el DF y el estado de México.

El 24 de abril el G7 declara la economía mundial debería ponerse en marcha este año y que se lanzarían todas las acciones necesarias.


Finalmente lunes 27 de abril la empresa farmacéutica Sanofi Aventis anuncia que inyectara 100 millones de euros en una nueva planta de vacunas y donaría 236,000 dosis a México como apoyo al control de la enfermedad.


De todo lo anterior veamos lo siguiente:


1. Desde hace más de 2 años la industria farmacéutica a nivel mundial tenía problemas financieros por la baja en la venta de medicamentos.

2. Si no creas guerras crea enfermedades (la economía mundial debería ponerse en marcha)

3. México perfecto trampolín para lanzar la enfermedad, de aquí saldrían (sortent) turistas a diferentes partes del mundo, curiosamente los países que reportan enfermos que estuvieron en México, y que están reforzando su cerco sanitario son los países que integran el G7 que raro.


Lo que pasara esta semana que viene. Muy probable la suspensión de actividades en todas las empresas del DF y Estado de México, ya las clases se suspendieron hasta el día 6 de mayo, donde el gobierno hará un análisis de la farsa y vera conveniente el que siga, o la declaración tan estudiada "gracias a las medidas que se tomaron a tiempo y el apoyo de la ciudadanía pudimos controlar la enfermedad"

4. Ponte a pensar de que se está hablando a nivel internacional ahora ¿del virus o de la crisis financiera?. Esto de antemano es un alivio  para el banco mundial y las bolsas del mundo.

Distribuye y si puedes saca copias para la gente que no tiene internet, esta gente como siempre es la más afectada, mira los noticieros y las ventas de las farmacias se ha incrementado y el costo de los cubrebocas (les masques)ya llego a 7 pesos (quand elles valent 1 peso) imagínate las risas de quien esto orquesto al ver a la gente con cubrebocas.

Si alguien debate que con el paro México perdería mucho pues no, para eso es el fondo que destino el FMI, e imagínate las ganancias de la farmacéutica a nivel mundial, y como lo acaba de anunciar el Secretario de Economía de México por dinero no paramos para combatir la enfermedad, y por último los empresarios considerarían este paro un alivio y muchos vivales como siempre pagaran la mitad a sus empleados.


El presidente anuncio que la enfermedad es curable, y siempre nos manejan cifras a medias ¿donde están los muertos y donde están concentrados los enfermos?,

Yo anexo los siguientes puntos:

1.   Si realmente es tan contagioso, ¿cómo y donde están las familias de los muertos? jajaja, les gens dedectes de l influenze sont remis dans la rue avec leur petit masque pour se couvrir la bouche, je vous promets que c est ce que disait le journal d il ya deux jours.

2.   Si la influenza porcina es una mutación del virus original de los cerdos, entonces el brote de la infección debería haber comenzado en el campo y no en la ciudades. soi disant des industries des etats unis seraient rsponsable, pour de mauvaise condition d hygiene... mais il faut aussi signale que l annee derniere, le vaccin contre l influenze a ete pose a tous les enfants en bas age et les personnes agees, a deux reprises... entrainant la mutation du virus, peut etre, du coup la population touchee, ben les jeunes adultes.

3.   ¿Por qué no han mostrado una entrevista con algún enfermo? (he visto que entrevistan a familiares, diciendo que su familiar esta enfermo y que ya está estable gracias a los medicamentos, pero si el familiar ha estado en contacto directo con el virus que lo lógico no es que esté enfermo o en cuarentena?)

personnellement je ne connais personne qui connaisse un cas d influenze, mais bon 107 millions d habitants..

4.   ¿Por qué no han dicho el nombre del retroviral que esta “curando” a la gente enferma?

bon , ah tiens j ai change de couleurs du coup...

j espere que si vous prenez le temps de lire, s il vous plait, parce que ca put l arnaque l inluenze, les gens sont en train de se cloitrer chez eux, pendant ce temps la comme toujours sont en train de passer un tas de reformes... et puisay zut, ils nous font chier ces politiciens.

bon je poste ce mail et j en fais un autre ce que vous vous voyez...

Publicité
Commentaires
pourquoi pas nous?
Publicité
Archives
Publicité